Vierköpfige Familie aus Frankreich getötet
06.03.2017 um 21:01
17h11. Deux juges d'instruction sont en charge du dossier, précise Pierre Sennès. «Dans les jours à venir, reste à découvrir l'endroit où les corps ont été enterrés». Le parquet a requis le placement en détention provisoire d'Hubert Caouissin et Lydie Troadec, ajoute le procureur, avant de conclure sa conférence de presse.
Zwei Untersuchungsrichter sind verantwortlich für das Dossier, sagt Pierre Sennes. "In den kommenden Tagen bleibt es, den Platz zu finden, an dem die Leichen vergraben wurden". Die Staatsanwaltschaft hat beantragt, Hubert Caouissin und Lydie Troadec in Untersuchungshaft zu nehmen, fügt der Staatsanwalt hinzu, bevor er die Pressekonferenz beendet.
17h09. «Dans les deux à trois jours qui suivent, Hubert C. et Lydie Troadec s'efforcent de faire disparaître les corps», précise le procureur de la République. Ceux-ci sont finalement «démembrés». «Une partie a été enterrée et l'autre brûlée», ajoute-t-il.
Der Staatsanwalt führt aus: "In den zwei, drei darauffolgenden Tagen haben sich Hubert C. und Lydie Troadec bemüht, die Leichen verschwinden zu lassen. Diese wurden schlussendlich zerteilt und ein Teil vergraben, der andere verbrannt".
17h07. Hubert Caouissin n'est rentré que le lendemain matin à son domicile de Pont-de-Buis (Finistère). Lydie Troadec aurait été informée des faits dans la matinée, selon le procureur. L'homme serait ensuite retourné à Orvault, avec une camionnette, pour récupérer les corps.
Hubert Caouissin ist erst am nächsten morgen an seinen Wohnsitz in Pont-de-Bus (Finistere) zurückgekehrt. Lydie Troadec wurde im Laufe des Morgens über den Sachverhalt informiert, laut Staatsanwalt. Der Mann fuhr anschließend mit einem kleinen Lastwagen nach Orvault zurück, um die Leichen zu holen.
17h05. Le beau-frère aurait démembré les corps, enterré une partie et brûlé l'autre partie, continue le procureur de Nantes.
Der Staatsanwalt fährt fort, daß der Schwager die Leichen zerteilt und einen Teil vergraben, den anderen verbrannt hätte.
17h03. «Vers 23h, Hubert Caouissin entre dans le garage et attend que les 4 membres aillent se coucher. Il entre dans le domicile avec l'intention de récupérer une clé aperçue sur un meuble. Il fait du bruit, le couple Troadec, réveillés, vont descendre au rez-de-chaussée. Ils se retrouvent nez à nez avec Hubert Caouissin Il y a une altercation entre les deux hommes, dans des conditions restant à préciser».
"Gegen 23 Uhr geht Hubert Caouissin in die Garage und wartet ab, bis die vier Familienmitglieder sich schlafen legen. Er betritt die Wohnung in der Absicht, einen Schlüssel an sich zu nehmen, den er auf einem Möbelstück erblickt hat. Er macht Lärm, das Ehepaar Troadec erwacht und geht ins Erdgeschoß, wo sie sich von Angesicht zu Angesicht mit Hubert Caouissin wiederfinden. Es gibt eine Auseinandersetzung zwischen den beiden Männern, deren Verlauf noch geklärt werden muß."
17h02. Le procureur de Nantes : «Hubert Caouissin se rend le 16 février à la nuit tombante à Orvault, à proximité du domicile de la famille. Son intention, dit-il, est d'espionner la famille pour recueillir des informations sur le litige financier. Il applique un stéthoscope sur les fenêtres et les portes pour tenter d'entendre ce qu'il se dit à l'intérieur».
Der Staatsanwalt aus Nantes: "Hubert Caouissin begibt sich am 16. Februar in der Abenddämmerung nach Orvault in die Nähe des Wohnhauses der Familie. Seine Absicht ist es, die Familie auszuspionieren, um an Informationen bezüglich der finanziellen Streitigkeiten zu gelangen, behauptet er. Er hält ein Stethoskop an Fenster und Türen um zu hören, was im Inneren gesprochen wird."
16h58. Le procureur Pierre Sennès confirme l'héritage comme «fait générateur, fait causal» du drame. Il évoque «une profonde rancoeur, entre Hubert Caouissin et Pascal Troadec à propos d'un litige successoral». Le beau-frère des Troadec était visiblement persuadé que Pascal Troadec avait récupéré des pièces d'or dans le cadre d'une succession, et sans rien partager.
Pierre Sennès explique avoir requis la mise en examen d'Hubert Caouissin pour «assassinats» des quatre membres de la famille. Il va également demander la mise en examen de Lydie pour «modification de l'état des lieux d'un crime et recel de cadavres». Cette dernière encourt une peine de 3 ans d'emprisonnement.
Staatsanwalt Pierre Sennes bestätigt, daß die Erbschaft "der Auslöser, die Ursache" des Dramas war. Er beschreibt "einen tiefen Groll zwischen Hubert Caouissin und Pascal Troadec aufgrund eines Erbstreits". Der Schwager Troadecs war offensichtlich davon überzeugt, daß Pascal Troadec im Rahmen einer Erbschaft in den Besitz von Goldstücken gelangt war ohne diese zu teilen.
Pierre Sennes erklärt, daß er die Aufnahme eines Strafverfahrens wegen "Mord" zum Nachteil der vier Familienmitglieder beantragt hat. Ebenso wird er die Einleitung eines Strafverfahrens gegen Lydie einleiten wegen "Veränderung des Zustandes des Schauplatzes eines Verbrechens [keine Ahnung, wie man das auf deutsch nennt?] und unbefugter Wegnahme von Leichen". Letzteres zieht eine Haftstrafe von drei Jahren nach sich.